jeudi 17 janvier 2013

L'argent de mon épargne m'appartient et il est en sécurité


1- Rendez-moi mon argent !

Le moindre billet de banque est la propriété du gouvernement émetteur de cette monnaie.
Chaque centime de votre compte épargne est sous la responsabilité juridique de votre banquier. Dès l'instant où vous le déposez sur votre compte bancaire, votre banque devient débitrice envers vous de ce
montant.
Dans l'idée reçue précédente, vous avez découvert qu'un compte épargne est un prêt que vous accordez à votre banque.

Curieusement, nous ne demandons aucune garantie à notre banque pour lui consentir ce prêt, n'est-ce pas ?
Pourquoi ne demandons-nous pas à notre banquier la mise en garantie de 15 300 € de matériel informatique, de mobilier ou de biens immeubles afin de couvrir le risque d'impayé sur un Livret A ?

Imaginez ces milliards d'euros empruntés par de parfaits inconnus qui financent leurs projets personnels et qui tombent dans d'autres poches sous forme de revenus.

Tous ces milliards arrivent ensuite sur des livrets d'épargne détenus par des personnes croyants que ces sommes sont sous leur responsabilité... monumentale erreur !

Tous ces épargnants confiants n'ont même pas pris la précaution d'avoir le moindre actif en garantie de la part de leur emprunteur : la banque. Pourtant, ces épargnants autorisent cette même banque à saisir leur salaire ou le bien acheté dans le cas où ils ne remboursent pas leur emprunt à la signature de l'offre de prêt.
La confiance est pourtant une vertu réciproque, non ?

 2- Cher propriétaire, votre maison n'est pas à vous !

En réalité, votre banquier ne dispose d'aucun bien tangible à garantir lorsqu'il vous accorde un prêt. Il a donc besoin « d'attacher » une chose réelle dans la case « Actif » de son bilan.

La totalité des prêts vendus à ses clients fait partie des actifs d'une banque.
Les documents minimum indispensables pour couvrir cet actif sont votre engagement à rembourser sur une durée convenue, votre contrat de travail et le certificat de garantie hypothécaire (dans le cas d'un achat immobilier).

Le passif représente les dépôts des entreprises et des particuliers, ainsi que les emprunts réalisés auprès d'autres établissements.
Le terme juridique d'un contrat de prêt immobilier est un contrat d'« accession à la propriété » .

Mais à qui donc appartient le bien immobilier si l'emprunteur n'a pas encore la pleine propriété du bien ?

L'explication est simple.
La banque devient la première bénéficiaire dès que l'emprunteur accepte l'offre de prêt par le biais de la garantie hypothécaire validée par le notaire.

Une garantie hypothécaire permet à la banque de devenir « propriétaire » :

– La phase de remboursement est un transfert progressif de la propriété au client au fur et à mesure du paiement de sa dette.
– En cas de défaut de paiement, la banque saisit le bien ou une partie du salaire par la force.

Le débiteur n'est donc qu'un « locataire » d'une maison dont il croit être financièrement propriétaire à 100% dès le départ. En réalité, il doit effectuer le dernier remboursement (prix d'achat et intérêts) pour détruire
sa dette et gagner la pleine propriété du bien. 

Un prêt est un outil de transfert de propriété entre la banque et son emprunteur.

“Cette ingéniosité du système financier permet aux établissements bancaires de devenir immédiatement bénéficiaire de la propriété d'un bien financé par le travail des autres. Cette prouesse s'effectue alors qu'ils ne disposent que de 10% des fonds propres nécessaires à l'achat.”
N'hésitez pas à venir vous  renseigner régulièrement sur les mise à jour de ce blog dédié aux moyens qui vous permettrons de vous refaire une santé financière ou comment vous sortir d'un surendettement comment en sortir, mais aussi quelques soit votre situation, plus aisé ou beaucoup plus aisé. D'ailleurs un excellent livre écris par notre petite équipe sera proposez dans les quelques jours qui viennent est qui est considérés exceptionnel même par des spécialités de la finance, des traders et de plus en plus de monde.


90% de cet argent est créé sans aucune force de travail (seulement quelques secondes de frappe sur un clavier d'ordinateur).

Ce procédé élaboré permet également aux banques de devenir propriétaire d'une partie de la force de travail d'un individu en l'asservissant au paiement des intérêts.

Les intérêts ne sont pas créés lors de l'emprunt. Les banques ne créent que le capital nécessaire à l'achat.
L'endetté doit donc se débrouiller pour trouver dans la masse monétaire existante, l'argent nécessaire pour financer le surplus demandé par la banque...

Lorsqu'un billet de 50 euros est créé, la dette qui a permis son existence est majorée d'un montant qui n'existe nulle part sur Terre. Seule la création d'une nouvelle dette permet de créer le montant nécessaire au paiement des intérêts.

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